- Nombre de pages de l'édition imprimée : 158 pages
- Éditeur : So Romance
- Date de parution : 21 décembre 2018
L’actrice Kristin Valberg, sans travail et divorcée, cherche à sortir de l’impasse. Elle accepte donc de tourner un nouveau film en Suède. Là-bas, non seulement un mystérieux individu semble la suivre sur les lieux du tournage, mais Kristin sera aussi en proie à des bouleversements sentimentaux : Sven, un jeune figurant, ne la laisse pas indifférente, mais elle éprouve également une attirance certaine pour sa maquilleuse, Magda. Arrivera-t-elle à retrouver un métier et l’amour
Murmures, une douce mélodie de Pierre Montbrand. Nous suivons Kristine Valberg, actrice divorcée qui tourne un film en Suède. Gardez bien en mémoire que nous sommes dans les années 70. Merci à So Romance pour la découverte de cet auteur encore inconnu pour moi. La première chose qui m’a attiré ce n’est pas la couverture, mais bien le résumé. Une histoire d’amour à trois, que du rêve.
Mais au-delà de ça, l’histoire de Kristin révèle bien plus de chose qu’une simple amourette. Kristin est une femme brisée, déboussolée, facilement manipulable. Je ne sais pas encore si cela la rend mignonne ou juste stupide. Pendant son tournage, elle va tomber sous le charme d’un très jeune figurant (18 ans) mais aussi sous le charme discret de Madga, sa maquilleuse. Qui sait, l’amour l’aidera peut-être à grandir.
Une lecture agréable, fluide, non conventionnelle. L’écriture de l’auteur est sans fioriture, j’avoue avoir été bluffé par l’histoire, on y aborde des sujets qui collent parfaitement aux années 70. Drogue, alcool, amour libre, prise de position et surtout la femme objet!!!!
J’ai
aimé me perdre dans la vie de notre héroïne, j'ai souffert pour elle , je l'ai aussi détester mais au final elle a juste besoin d’écoute et d'amour
Un
bon moment de lecture.
👌Sandrine 👌
Lien amazon : https://amzn.to/3c03f4YL’avion a atterri à Arlanda vers sept heures du matin. Je suis descendue de la passerelle avec les autres passagers et nous avons gagné le terminal. Il n’y avait pas d’autres arrivées et les formalités de douane n’ont pas pris bien longtemps. Le jeune douanier m’a rendu mon passeport américain avec un sourire. J’ai récupéré mes deux valises, que j’avais faites la veille, choisissant presque au hasard quelques robes, des chaussures, des pulls, trop fatiguée pour y réfléchir vraiment. Puis j’ai rejoint le grand hall, peu fréquenté à cette heure-là. Ce nouvel aéroport m’était totalement inconnu et pendant quelques minutes, je me suis sentie perdue, comme si je n’allais rien retrouver de mon passé.
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