Mères malgré tout
De Nelly Topscher et Sophie Leseure
Paru le 4 janvier 2019
Numérique (1€99)
39 pages
Résumé;
Un recueil de nouvelles, de récits, de moments de vie qui ont boulversé l'existence de deux femmes.
Après de nombreux mois d’essai et plusieurs fausses-couches précoces, quand ce bébé s’est enfin accroché, j’y ai vraiment cru., jusqu’à ce jour de septembre où tout a basculé. Malgré l’issue funeste, je me suis vraiment sentie mère. Je suis la «”Elle “ de ces textes.
Si aujourd’hui, j’ai tourné la page, la vie me fait régulièrement croiser des mères endeuillées. Et je réalise que malheureusement, elles se prennent encore de plein fouet les mêmes réflexions que j’ai si souvent entendues.
Fausses-couches précoces, GEU, accouchements prématurés. Peu importe le nom employé. Derrière ces mots, essayez de ne pas oublier qu’il y a une femme qui s’est sentie mère dès l’instant où elle a su qu’elle portait la vie. Nelly Topscher.
Maman de deux enfants, a malgré porté la vie trois fois.. Et cela, jamais je ne l'oublierai..
Ce statut de Maman pour ce bébé sera ignoré. Arraché à moi, car extra uterin...
~~~
Un foetus n'est plus un embryon, lui aussi aurait dû être officiellement reconnu...
Mots difficiles à accepter, quand pourtant, la vie doit continuer...Sophie Leseure
Laissez-vous toucher par ces récits auto-biographiques et découvrez les épreuves que deux femmes, deux mères, ont dû traverser.
Notre avis;
De Nelly Topscher et Sophie Leseure
Paru le 4 janvier 2019
Numérique (1€99)
39 pages
Résumé;
Un recueil de nouvelles, de récits, de moments de vie qui ont boulversé l'existence de deux femmes.
Après de nombreux mois d’essai et plusieurs fausses-couches précoces, quand ce bébé s’est enfin accroché, j’y ai vraiment cru., jusqu’à ce jour de septembre où tout a basculé. Malgré l’issue funeste, je me suis vraiment sentie mère. Je suis la «”Elle “ de ces textes.
Si aujourd’hui, j’ai tourné la page, la vie me fait régulièrement croiser des mères endeuillées. Et je réalise que malheureusement, elles se prennent encore de plein fouet les mêmes réflexions que j’ai si souvent entendues.
Fausses-couches précoces, GEU, accouchements prématurés. Peu importe le nom employé. Derrière ces mots, essayez de ne pas oublier qu’il y a une femme qui s’est sentie mère dès l’instant où elle a su qu’elle portait la vie. Nelly Topscher.
Maman de deux enfants, a malgré porté la vie trois fois.. Et cela, jamais je ne l'oublierai..
Ce statut de Maman pour ce bébé sera ignoré. Arraché à moi, car extra uterin...
~~~
Un foetus n'est plus un embryon, lui aussi aurait dû être officiellement reconnu...
Mots difficiles à accepter, quand pourtant, la vie doit continuer...Sophie Leseure
Laissez-vous toucher par ces récits auto-biographiques et découvrez les épreuves que deux femmes, deux mères, ont dû traverser.
Notre avis;
Je tiens à remercier Nelly et Sophie pour cette touchante,
émouvante, bouleversante nouvelle, avec vos deux intimes histoires, vos cœurs ouverts
sur papier.
Vos mots crient votre douleur, vécue en votre chair et en
même temps, ceci étant mon avis uniquement, je sens une retenue pudique.
Votre colère contenue face à un monde médical se disant
humain, mais où même l’humanitaire n’a plus de signification ou face à vos
corps qui n’ont pu garder et protégé la vie ainsi qu’à la tristesse de les
avoir perdues et de devoir vivre ou survivre sans elles.
Je me permets de parler ainsi m’étant un peu reconnue dans
vos paroles. Maman réelle de trois filles tout en étant aussi maman pleurant
deux fausses couches entre chaque grossesse. Certes pas aussi avancées que
vous, à 2 et 1 mois, un cœur qui a cessé de battre et l’autre une contamination
à la toxoplasmose. Cependant, j’ai ressenti des choses similaires, colère,
rejet, même destruction derrière le masque de faux semblant.
Je tiens à souligner votre courage, ne connaissant pas le
sexe de mes anges perdus, jamais je n’ai pu les prénommer que mes anges. Jamais
je n’en parle, trop de douleur, trop de rage, trop de tristesse que je ne
parviens pas à exprimer et si peu comprise par le monde qui nous entoure.
Je tiens également à vous remercier d’avoir mis en avant
aussi un point de vue masculin car si nous, femmes, sommes meurtries dans nos
êtres. Eux, nos maris, compagnons le sont dans leur cœur et pudique à l’exprimer.
Je comprends mieux aujourd’hui les silences de mon mari durant ces épreuves.
Je finirais juste en disant BRAVO et en vous applaudissant
haut et fort pour votre bravoure et votre leçon de vie.
Peu importe le stade de la grossesse, ce sont des bébés que
nous chérissons à jamais, des projets, des espoirs, un avenir que nous
imaginions d’ores et déjà…les blessures de ces pertes demeurent des traces
visibles ou non, indélébiles…les mots me manquent…le cœur est lourd…les larmes
coulent…MERCI A VOUS
*Jenni
*Jenni
Les mots sont difficiles à trouver pour vous offrir mon avis
sur ce témoignage.
Je vais poser la casquette de chroniqueuse et laisser mon cœur
de femme, de maman parlé à la place.
Je n’ai pas vécu la même chose que Nelly et Sophie, et
malgré la douleur que je ressens en les lisant, je n’ose imaginer la douleur
avec laquelle elles vivent au quotidien.
Comment peut-on accepter de laisser son enfant sortir de sa
vie ? Comment peut-on se reconstruire après cela ?
C’est ce que j’ai pensé quand j’ai commencé à lire cette
autobiographie. Il m’a fallu une pause et me vider la tête pour me remettre
dedans, je savais que j’allais en souffrir, il me fallait prendre du recul pour
ne pas y laisser des plumes…mais c’est sans compter sur le talent de Nelly et
Sophie. Malgré les barrières que j’ai montées autour de mon cœur, elles ont su
les faire tomber si facilement.
Il n’y a pas que mon cœur mais aussi mon âme qui a eu mal.
J’ai eu du mal à m’en remettre, je ne vais pas le cacher. En
y repensant une fois la douleur atténuée, c’est un tout autre point de vue que
j’ai ressenti pour ces deux courageuses mamans.
Je vais directement m’adresser à vous les deux mamans en or.
Vous m’avez touchée et émue comme je n’ai que très peu connu. J’ai eu mal en
vous lisant et en me disant que la douleur que je ressens n’est rien comparée à
ce que vous vous ressentez au quotidien. Mais, je ne ressens pas de la pitié
pour vous, je ressens une force que très peu de personnes peuvent prétendre
avoir. Vous avez souffert de la pire des façons, vous avez mis du temps à vous
en remettre, oui…mais vous l’avez fait ! Vous avez relevé la tête, vous
vous êtes battues contre cette perte, vous avez recollé les morceaux de votre cœur,
vous avez gardé la tête haute malgré tout ce qui vous entoure. Vous forcez le
respect, vous êtes des battantes, des modèles ne l’oubliez jamais s’il vous
plait. J’ai la chance, le bonheur, le privilège de vous connaître plus que de
simples auteurs, vous faites partie de ma vie au quotidien, de cette famille de
cœur que j’ai. J’ai la fierté de dire que les cœurs les plus purs, les femmes
les plus fortes que je connais sont parmi mes proches, sont dans mon cœur. Vous
êtes des mamans dans le cœur de vos familles, de vos amis, de vos lecteurs et
surtout dans VOTRE cœur, cela vaut toute la paperasse qu’on nous impose et/ou
refuse. Merci mesdames pour ce magnifique témoignage que vous nous avez offert,
merci pour cette belle leçon que vous offrez aussi, quel que soit les coups
durs de la vie, il faut s’en relever et croquer la vie à pleines dents. Vous
êtes des modèles pour moi, votre force me pousse et poussera vos lecteurs j’en
suis persuadée à toujours aller de l’avant.
Merci aussi à Christian pour ce magnifique préface qui m'a beaucoup touché.
À toutes les mamans d’anges partis trop tôt, je tiens à vous
témoigner toute mon affection. Chacun de nous a un ange gardien, vous, vous
avez le plus beau et le plus pur de tous. Vos bébés resteront à jamais présents
dans vos cœurs, la plus belle des maisons.
*Marion
Vous l'aurez compris, ce témoignage est a lire de toute urgence!
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