- Éditeur : Independently published
- Date de parution : 22 novembre 2020
- Langue : Français
- Broché : 342 pages
Edwige est une privilégiée. Tout lui sourit et elle possède tout. Elle représente tout ce que la personnage lambda déteste. Mais qui sait ce que cache une porte fermée.
Valentin, lui est l’opposé d’Edwige. Il cumule boulot et fac
pour pouvoir faire vivre décemment sa petite sœur.
Ils n’ont rien en commun sauf un palier…
Merci à Caroline pour se service presse. Quand elle me l’a
proposé : le titre et le résumé m’ont titillé. Bon je ne savais pas que
c’était un premier tome. Donc frustration… je ne sais pas où le classer encore
Dark ou romance.
Edwige est un personnage complet, elle vit une relation
malsaine mais d’un autre côté, cette relation lui apporte ce qu’elle veut. Syndrome
de Stockholm ? Elle m’a fait de la peine tout en m’exaspérant. Et oui
c’est possible. Elle a appris dès son plus jeune âge à être utilisée par son
beau-père, pas sa soit disant meilleure amie. Mais elle a appris à manipuler
aussi. Mon problème avec ce personnage c’est son manque d’émotions sur certains
événements de sa vie. On a l’impression qu’elle n’est pas là, comme absente…
Valentin lui est tout le contraire de sa voisine. Il cumule
les boulots mais comme elle, il a un passé chargé. Lui aime les âmes torturées
et veut « réparer » Edwige. Son arme : sa sœur Léa, une gamine
de neuf ans, rigolote et plus mure que son âge. Tout les sépare mais tout les
rapproche. C’est une histoire complexe mais prenante. On ne voit pas le temps
passer. On navigue entre illusions, jeux de pouvoir, négociation, contrat, luxe
et secret de famille. Sebastien se sert d’elle
pour ses contrats mais aussi personnellement. Homme de pouvoir, il peut se
montrer violent.
L’histoire est originale, fluide.
On se laisse facilement embarquée. Bon par contre c’est quoi
cette fin, je veux la suite… mon petit bémol va sur les quelques fautes
découverte lors de ma lecture, ce qui ne va pas m’empêcher de lire la suite.
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