1956, Belgique. Une petite fille disparait. Les témoins du drame n’oublieront jamais les cris de la mère éplorée, les larmes du petit garçon qui l’accompagne, la peine du père, rongé par la culpabilité. Le petit garçon s’appelle Reginald.
1971, Zaïre. Tandis que le soleil brûlant se couche sur Kinshasa, un couple laisse leur fille Caroline seule pour s’occupe de sa petite sœur. Une nuit dont les conséquences seront fatales.
2011, Belgique. Reginald et Caroline sont mariés. Ils ont tous deux perdu une sœur, ils se comprennent et se méritent. Ils ont deux enfants : Karen et Raphaël. Une famille parfaite, enviée de tous. Mais n’oubliez pas : les apparences sont souvent trompeuses…
Ceci est juste une mise en bouche d’une dizaine de pages
mais assez déjà pour savoir que l’auteur va nous faire passer par différentes
émotions et surement pas les meilleurs.
Deux familles, deux histoires, mais le même drame, la perte
d’un enfant, d’une sœur. Voilà comment commence
ce préquel, cette mise en bouche. Mais au-delà du drame, Clélia Valmont a
réussi à capter mon esprit sur cette histoire. Deux âmes perdues qui se sont
trouver mais au-delà du cadre idyllique, il y a l’horreur. Qui sait ce qu’il se
cache une fois la porte fermée et à quel genre de monstre on à a faire…
Il s’agit ici d’un avant goût de la saga Monstres, force et
liberté qui paraîtra en 5 tomes cette année.
L’auteur réussi à me laisser avec l’eau à la bouche donc je
dirais à suivre !
https://cleliavalmont.be/accueil
Commentaires
Enregistrer un commentaire